Pour le commun des mortels, les données d’analyse des performances deviennent encore plus évidentes lorsqu’il s’agit de saisir les vitesses de déplacement correspondantes dans les montées, qui dépassent largement les 20km/h pour des pourcentages et des longueurs de montée tout de même considérables. Même avec un vélo électrique trafiqué, on n’aurait guère de chance de s’en approcher. L’étape a en outre été parcourue à une moyenne fabuleuse de 42,5km/h, la première heure de course a même débuté à 50km/h [4], et ce sur un parcours topographique extrêmement profilé!
C’est d’ailleurs lors de cette 11ème étape que l’on assiste, pour la seule fois de tout le TdF, à un moment d’incertitude et d’épuisement de Pogacar. L’expression de son visage et de celui de son coach lors de la sortie sur le Smart Trainer à l’arrivée en dit long [5].
L’interview émotionnelle de Vingegaard à l’arrivée, qui lutte contre les larmes, est l’un des nombreux autres moments forts de cette étape spectaculaire et vaut absolument le coup d’œil [6]. Roglic et Evenepoel limitent les dégâts dans le CG ce jour-là, Roglic a eu beaucoup de chance dans sa chute dans la dernière descente de ne pas être gravement blessé et de ne pas perdre de temps [7]. Wout van Aert a lui aussi dû bénéficier d’un ange gardien particulier ce jour-là après son crash artistique [8].
Avec le Danois Morkov de l’équipe Astana, le conte de fées Corona commence à la 12e étape dans le dernier épisode répugnant, qui ne peut guère être dépassé en termes de ridicule et de mensonge. Les exigences de performance répétitives et aberrantes documentées pendant le TdF poussent chaque jour chaque athlète de haut niveau à la limite de ses capacités, il n’est donc pas étonnant que les premières victimes d’épuisement apparaissent dès la 11e étape dans la liste des coureurs éliminés [9]. Et bien sûr, comme c’est le cas depuis des décennies sur le TdF, certains participants attrapent diverses infections virales ou bactériennes par effet de fenêtre ouverte [10] après les étapes, ou deviennent plus sensibles aux refroidissements dans les zones climatisées des camions, des vans et des chambres d’hôtel en raison de la chute des températures par rapport aux conditions climatiques extérieures de plein été. Mais ce qui est ensuite mis en scène par l’orchestre de panique du mainstream pour une nouvelle campagne devrait, compte tenu de la réciprocité des faits, faire réfléchir même le dernier fanatique du virus. Pour se familiariser avec le contexte, il est d’ailleurs utile de lire l’excellent ouvrage « Viruswahn » [11]. Le numéro de fake commence déjà par l’absurdité complète de retirer Morkov, en parfaite santé et asymptomatique, de la course avec un résultat de test « positif » [12], en postulant une attribution Corona de manière purement arbitraire, parce que les kits de test et leur conception sont totalement non spécifiques, non sensibles et donc inutiles. Il faut simplement que les rédactions mainstream se donnent la peine de consulter les RKI Files, c’est-à-dire les procès-verbaux de la cellule de crise du RKI datant de l’époque de la terreur hygiénique, et de prendre connaissance du fait que tout le cirque microbien était politiquement mensonger et ne possédait aucune preuve épidémiologique scientifique, ce que les spécialistes du RKI expliquent dans les documents à l’appui de preuves juridiques [13]. L’ensemble du récit alarmiste Corona/Covid-19 a été chorégraphié par des sociologues sans conscience à l’aide de tours de passe-passe psycho-comportementaux [14] et d’un modèle de marketing d’un consultant de la Silicon Valley [15]. Même au cœur du mainstream, représenté par le directeur de longue date du studio de la capitale bruxelloise de l’ARD, Rolf Dieter Krause, qui s’est exprimé lors du Phönix Runde à l’occasion des élections européennes, on reconnaît désormais comment le régime coronaire de Merkel et ses autorités aux ordres (RKI, etc.) ont menti et trompé la population [16]. Ce n’est pas un hasard si le Corona Show connaît un renouveau lors du TdF. En même temps, avec la grippe aviaire, on tente de maintenir en vie la prétendue menace virale latente, bien qu’il n’y ait pas non plus la moindre preuve pour la variante ornithologique [17]. Depuis peu, Corona flirte même avec des organismes hôtes potentiels [18], jusqu’où faut-il descendre dans les médias et la science pour propager de telles inepties ? Et pourquoi, pour la troisième année consécutive, le cyclisme doit-il être mis à l’honneur pour toutes ces conneries microbiennes, alors qu’aucun « cas Corona » n’apparaît lors des grands événements sportifs parallèles que sont l’Euro de football ou le tournoi de tennis de Wimbeldon ? Corona serait-elle un mutant vélophile?
La réintroduction de l’obligation inefficace de porter un masque lors du TdF [19a], qui est à peu près aussi utile que les parapluies contre les chutes de pierres, est un indice clair de ce dont il s’agit en réalité. La présentation télégénique de zombies masqués repoussants doit permettre de maintenir le conditionnement collectif des années Corona, afin que BigPharma et ses complices dans les médias, la science et la politique puissent à nouveau s’en mettre plein les poches sur le dos de la population lors du prochain show pandémique. Et ce, bien qu’il soit désormais prouvé empiriquement que toutes les mesures de terreur en matière d’hygiène ont été totalement inutiles [19b]. Toujours est-il qu’entre-temps, une saine aversion pour les masques d’esclaves s’est développée chez les actifs et les soignants, comme le reflètent heureusement leurs déclarations sceptiques, voire critiques, dont le ton est parfaitement juste : « Les masques n’ont aucun sens » [20]. En réalité, sur les 176 participants au TdF, 4 ont abandonné avec des symptômes, un a été éliminé sans symptômes et au moins un a continué avec des symptômes [21]. L’un des symptomatiques éliminés (Pidcock) devient d’ailleurs champion olympique à Paris à peine 2 semaines après son rhume « mortel » [22]. C’est-à-dire qu’avec un ridicule 2,84% de symptomatiques, la panique est à nouveau attisée, entre autres par un coroner mainstream comme Migels sur Eurosport qui s’enrhume dans les haut-parleurs et par les microphones sous tutelle de l’ARD dans les zones d’interview. Migels, lui aussi complice de l’époque du régime de Corona [23], apparaît de toute façon, au fur et à mesure de sa présence en tant que commentateur, comme une réincarnation multiple d’Angermann, Watterott et Emig, dont le verbiage non qualifié pendant des heures était déjà difficilement supportable à l’époque.